lundi 31 mai 2010

Si jeunes et déjà ponais...

Avec un petit peu de retard, je me permets de vous faire partager à tous ce petit récit que j'avais commencé à rédiger fin Mai, au moment où, vous le savez tous, je rentrais d'extrème-orient.

Chers tous, ce voyage s'achève. Enfin mon voyage. Vous, je n'ai aucune idée de comment vous occupez vos journées; sûrement à traîner sur Facebook ou à conduire des bus... Bref, ce périple asiatique s'achève par 5 jours à Tokyo.
Là vous vous dîtes "ok, Tokyo il nous l'a déjà fait, les aliments au goût de pied, blablabla, Shinjuku by night etc, c'est bon on zappe !" Eh bien vous avez tort. Et tout le monde sait que le tort tue !
Car j'ai voulu profiter de ce temps libre et seul pour me balader dans les alentours de la capitale nippone (ni mauvaise) et le résultat est plutôt encourageant (je ne trouvais pas d'autre adjectif allant bien avec résultat..). Revenons donc ensemble sur un best-of des évènements de ces derniers jours.

Jeudi 27 Mai 2010, 13.45 heure locale. J'atterris à l'aéroport de Narita (ta yoyo) pour la deuxième fois en moins de 3 semaines. Après la lecture de l'excellent Je ne verrai pas Okinawa de cette timide et sexuellement coincée Aurélia Aurita (dont vous l'avez compris je vous recommande la lecture sur le champs), j'ai un peu peur que les gentils japonais ne me laissent pas re-rentrer sur leur territoire supérieurement incroyable et me refoulent sous prétexte que je porte des baskets.
Heureusement la force est avec moi et je fais comprendre au douanier que les baskets, c'est cool.

Le temps de prendre le bus orange (le chauffeur est le sosie de Rémi G., version orientale, i.e. avec des chaussettes et des tongs) et hop! je me retrouve dans ma chambre d'hotel en moins de 2 (heures). Autant vous dire que là bon, je suis crevé. Je rappelle à mes lecteurs dont la mémoire concurrence sévèrement celle de mon poisson rouge Grishka (Igor est mort...) que je m'étais levé le jour même à 5.45 am avec dans l'idée de rejoindre la France (Galles) et que finalement je me suis retrouvé dans un Boeing 777 de Korean Air (en classe Business) à destination de Los Angeles, avec escale à Tokyo, où vous l'avez compris, je suis descendu. Cela dit ça aurait été drôle que je me sois endormi et que je me retrouve à Hollywood. Bon, la prochaine fois.

Donc, je me repose un peu dans l'établissement susnommé à base de sauna, piscine. Tranquillou. Le soir, je sors faire un tour pour manger un morceau dans Kabuki-chô et comme dirait Sheldon Cooper, je fais une petite digestive walk pour rentrer et me couche avec les poules.


Vendredi 28 Mai 2010. 4h35 am. Il fait jour depuis 15 minutes. Il fait beau. Les oiseaux chantent. Enfin j'imagine car avec le double vitrage j'entends rien. Mais surtout on voit le mont Fuji depuis ma chambre, ce qui est plutôt assez rare. Je prends une photo et je me recouche car faut pas hakonner. Ouh putain, là vous avez direct compris ce qui va se passer après et en plus vous constatez que je n'ai en rien perdu l'humour qui me caractérise. Je me lève donc à une heure raisonnable pour envisager une activité avec un pourcentage de glande faible, c'est à dire 9.10 am. Après un petit déjeuner frugal, je pars direction Hakone, petite région dans les montagnes à 1h40 de Tokyo, réputée pour ses onsens, son lac, et sûrement d'autres choses comme la mauvaise odeur de souffre qui fait penser à de l'oeuf pourri.

Après moult trains et bus, je me retrouve au pied du lac Ashi (et non pas couché). Mon ventre gargouille. Le bateau qui traverse le lac part dans 11 minutes, je regarde autour si je trouve pas une petite vieille qui vendrait un truc à becter. C'est toujours des petites vieilles qui ont la bouffe dans ce pays. Bref, j'aperçois un mec de type occidental. Il bouffe un truc qui s'apparente à un sandwich. Cela semble comestible. Je tente une approche
"-Aïe. Coude you tèle mi ouère you faounde youre cent douichiz ?
- A la supérette juste à côté.
- Bleuuuuuuuuuuu blannnnnnnnnnc rouge, c'est moi françois le français"
Le mec trace sa route. Je file à l'intérieur du commerce susnommé et achète au pif deux boulettes à base de riz. Dans la première des bouts d'omelettes, d'oignons et de jambon (en gros un riz cantonais quoi) dans la deuxième une prune confite au sel. Bon, 1/2. Ca aurait pu être pire, j'aurais pu avoir de la tête d'oursin séché au sperme d'huïtre, mais c'est mon jour de chance, continuons donc cette charmante journée. Je monte sur la bateau, c'est un trois mats hyper m'as-tu-vu et kitsch à souhait. Genre Attention, touristes! Mais bon la balade est agréable. Le lac est gavé coolos et je prends des photos pas dégueues.

Sur le pont supérieur du bateau, je retrouve le français de tout à l'heure, accompagné de deux autres jeunes gens, dont l'apparence se veut bien sous tous rapports. L'un d'eux engage la conversation et c'est parti, je m'incruste à mort dans leur groupe. Comme un de ces jeunes gens est Suédois, nous parlons tour à tour anglais et français, polyglottes que nous sommes. Après cette charmante balade en bateau, un téléphérique nous amène sur un versant de la montagne dont sortent des petits gaz assez nauséabonds. Un mélange d'oeuf pourri et de camembert qu'on aurait oublié au milieu de chaussettes sales et humides pendant un an dans un placard à l'abri de la lumière, et qui tout à coup vous serait envoyé dans la figure. Un truc agréable, en somme. La balade se poursuit, je passe les détails, petite bière dans le funiculaire pour reprendre des forces et fin d'après midi dans un petit onsen près de la gare avant de reprendre le train pour Shinjuku.

Dimanche 30 Mai. Après une journée de la veille assez calme (sieste-musée-shopping: une vraie gonzesse) je suis forcé de reconnaître que je suis en pleine forme, prêt à sauver une fois de plus le monde. Je jette un oeil à mon guide de voyage et trouve une idée d'excursion qui me semble être parfaitement adapté au dimanche que nous sommes. Je pars une fois de plus à Shinjuku, en direction de Kawagoe, à une heure de Tokyo au Nord. A la gare je m'achète un peu de boustifaille locale car j'ai l'estomac dans les talons aiguille. C'est à base de riz et c'est assez bourratif. Je mange ça dans le train et je m'en fous partout.
J'ai des petits grain de la céréale susnommée collés à ma barbe et les gens me regardent un peu comme si j'étais un goret. Je suis hyper à l'aise, mais j'arrive à bon port. Et cela même si Kawagoe n'est pas sur la mer.
D'ailleurs, parlons en de Kawagoe. Cette charmante petite ville est surnommée Little Edo. Donc là ce qui va se passer c'est que je vais devoir un peu tout expliquer, ce qui finalement ne vous sera pas inutile pour vos soirées Julien Lepers.
Edo est l'ancien nom de Tokyo avant que celle-ci ne devienne la nouvelle capitale nippone, suite à la révolution japonaise de 1868 qui place le pays dans ce que les gens avec un peu de culture appellent l'ère Meiji. Bref, ça devient chiant. Mais quand même, la fin du XIXe siècle et le début du XXe sont une période ultra prospère pour Edo et également pour Kawagoe qui se développent pas mal et font même du commerce ensemble. Seulement, un tremblement de terre détruit Tokyo en 1923 mais épargne Kawagoe ce qui permet aujourd'hui encore de retrouver des traces de cette époque complètement intactes et donne le surnom à la ville que je m'apprête à visiter.
Un bus fait le tour de cette petite ville en s'arrêtant sur tous les sites intéressants de la ville. Je commence avec le temple aux 500 statues. Et devinez ce qu'on trouve autour de ce temple, remarquablement joli - qui me fait penser au palais du shogun de Kyoto d'ailleurs - des statues ! Et combien ? 500 ? Hé bien non ! 534 ! Ca vous la coupe hein ?!
534 de statues donc, représentants des moines dans diverses positions (rien à voir avec le kama sutra...). La petite histoire dit que le visiteur perdu, arrivant de nuit, posera sa main de manière random sur la statue qui lui ressemble le plus.
Me concernant, je n'ai pas vu une seule statue ayant un peu la classe. Mais bon, l'endroit est joli et plutôt marrant.

Ensuite, je m'oriente vers THE attraction of the city : la fameuse rue entièrement préservée, telle qu'elle était à l'époque où José le samouraï venait boire du saké et bouffer de la patate douce. Hé oui, car la spécialité locale c'est la patate douce. Et je regrette amèrement d'avoir déjà pris mon déjeuner car non seulement je me sens un peu lourdingue mais en plus toutes les petites échoppes proposent de goûter leurs mets et ce, GRATOS! Je décide de m'empriffrer quand même. Confite, grillée, sucré, en sucette, avec de la pâte de haricot, de la pâte de riz, au soja, en beignet, tous les modes de préparation y passent et je n'ai plus faim pour 6 jours.
L'ambiance autour de moi est typiquement dominicale; famille et touristes entourés de marmailles se baladent et bouffent à foison mais cette animation ne me déplait pas et me permet de passer une excellente journée un peu plus calme (je me transforme en véritable petit vieux d'extrême droite) en dehors de la capitale.


Enfin, je ne m'étendrai pas sur la journée du lundi où après avoir fait 2h de train, 35 minutes de bus, j'arrive dans une station de onsens en bord de mer sur la péninsule d'Izu, où on m'explique gentiment que le lundi tout est fermé, y compris les sources chaudes qui m'ont amené jusqu'ici...
Autant vous dire que j'étais ravi, heureusement qu'un couple de vieux m'a offert un peu de saké. Il a juste suffi que je mentionne que je venais de la plus belle ville du monde pour qu'on parle de vin et que les individus âgés me fassent goûter la production locale....

mercredi 12 mai 2010

Marcello Proust a les miquettes

Il est 11.15 am. Je suis en pantalon de pyjama, polaire. Faut dire aussi que les nuits se sont clairement raffraichies, j'ai limite froid aux pieds qui sont néanmoins moites. Bon clairement, il faudrait que je m'active ; ma valise n'est pas prête et je suis persuadé qu'il me manque des trucs en plus. Cela dit bon, je ne décolle de Bordeaux qu'à 20.55 (8.55 pm pour nos amis qui comptent l'heure comme ça, histoire de se la jouer).

On devinera aisément que je fais traîner tout ça car j'ai grave la trouille de prendre l'avion. Même si bon, l'objet volant qui fait hyper peur et dans lequel je vais rester coincé a priori 12h est un Boeing 777 d'Air France, il n'empêche que j'ai méga les chocottes (on apprécie la richesse du champs lexical de la peur) comme d'habitude mais que cette histoire de nuage volcanique a increasé my fear comme diraient mes lecteurs britanniques déjà nombreux. Déjà, deux jours plus tôt j'ai passé le vol à inspecter depuis le hublot les réacteurs pour vérifier qu'aucune cendre ne se mette en fusion et ne les fasse flamber mais là en plus je vole de nuit, ce qui, tout le monde le reconnaitra donne une certaine dimension tragique à cette aventure que je vous raconte avec brio.

Bref, si tout se passe bien je devrais me poser à 18.00 à NRT (Tokyo Narita pour les gens qui ne connaissent pas par coeur les codes aéroports du monde entier) soit 11.00 am si vous habitez Saint Médard en Jalles ou ses environs. Je vous embrasse donc tous bien forts et vous souhaite à tout bientôt.

Marcello

jeudi 6 mai 2010

The Tallest Man On Earth


Taille de Bob Dylan : 1,71m.


Etant passionné par les digressions, et surtout étant incapable de faire une chronique développée convenable, j'en profite pour vous raconter ma vie.
Le week-end dernier, Fred n°1 (bon pour simplifier la vie de tout le monde je vais l'appeler numéro 1 mais que personne ne croit que ce classement est réglé et définitif) m'offre gentiment l'album vinyle de Smashing Pumpkins intitulé Siamese Dream. Cette album, outre le fait d'avoir une pochette somptueuse, regorge de tubes et contient l'essencemême du rock US des années 90 ainsi que ma chanson préférée des citrouilles, j'ai nommé Disarm. (Bon ok, j'adore aussi Today).
Bref, je suis ravi. Seul hic, je ne peux pas écouter la galette du fait que ma nouvelle chaîne hi-fi n'a pas d'entrée RCA. Elle fait le café mais n'a pas d'entrée RCA. On pourrait écrire un bulletin pasionnant là dessus mais je vais m'arrêter là.
Du coup je suis un peu frustré. J'affiche néanmoins (et bouche en plus) l'objet dans mon couloir de 50m² et décide de trouver rapidement une solution à ce problème gravissime.
Mardi dernier, en passant l'aspirateur (je ne vous raconte pas le nombre de poils de rouquins que j'ai pu trouver dans l'appart!) je me rends compte de la présence dans un de mes placards d'une vieille chaîne hi-fi donc le lecteur CD est mort mais dont l'amplificateur et les enceintes fonctionnent parfaitement. Je me dis banco.

Après une installation digne de la scène d'un concert de Johnny, je suis fier d'admettre que ça marche et j'ai envie de fêter ça par l'achat d'un tout nouveau vinyle. Je cours donc à la fnac. Et j'insite d'ailleurs sur le fait que j'y vais vraiment en courant; j'ai fait mon footing sur les quais juste avant.

Je me retrouve donc au rayon musique (forcément, les vinyles ne sont pas au rayon papeterie hein) et me souviens avoir été surpris de l'agrandissement du présentoir réservé à ce fameux support qu'on ne trouvait presque plus il y a quelques années de ça. Je parcours leur stock et tombe sur la pochette magnifique de l'album de The Tallest Man on Earth, The Wild Hunt.

En ayant entendu parler par David Z., Carcassonnais de son état mais pour le moins mélomane, je craque et l'achète pour la modique somme de 21,90 €. Petit avantage, j'ai droit avec l'achat du vinyle de télécharger légalement l'album au format digital de super qualité et le mettre sur mon ipod pour l'écouter quand je cours et j'ai envie de dire, la boucle est bouclée.

Je rentre. Je prends une douche (bin oui, je pue la transpiration!). Et là je mets ma dernière dépense à tourner sur la platine. Les premières notes arrivent. De la guitare sèche, dans la plus grande tradition du songwriting, une voix que certaines mauvaises langues qualifieront de nasillarde et je suis projeté dans les paysages de l'Amérique profonde ou plutôt des fjords de Scandinavie, vu que c'est là d'où vient notre bonhomme. Il est absolument clair que le fantôme (bon ok il est pas mort mais c'est tout comme) de Bob plane tout au long de l'album qui se veut tout à tour mélancolique, passionné et même un peu nerveux sur la fin. Un agréable moment donc qui ne révolutionnera absolument rien mais nous donnera envie d'enfiler nos chemises de bucherons, d'allumer un feu et de décapsuler une Bud' en sauvant quelques castors.

Seul le silence

Un samedi après-midi où nous allons à l'Utopia avec Gwendal H., le breton susnommé trouve à côté des flyers pour les cours de yoga végétariens, un livre. Il le ramasse.
Première réaction de ma part :
-"Repose ça tout de suite, on va chopper la grippe A!
-T'es con ou quoi un livre gratos ?!
-Ouais enfin s'il était bien le mec il l'aurait pas laissé traîner là, laisse-le je te dis c'est piégé.
-A chaque fois que tu trouves un livre, c'est comme quand tu prends l'ascenseur sur un étage : tu sauves trois castors.
-Auquel cas alors prends le..."

Naturellement, Monsieur laisse le livre chez moi et il demeure oublié pendant quelques mois, entre deux volumes de Fraise et chocolat. Cette petite digression vous ayant passionnés, je reviens à la semaine dernière. Il fait chaud, il fait chaud (ce qui ressemble fortement à une chanson de Jean-Pierre Caca) et je décide de partir à la plage avec un livre. Voulant garder mes livres au format poche pour mon proche voyage dans l'avion (ce qui d'ailleurs est vraiment pertinent; déjà si j'arrive à bouger pour attraper mon sac pendant le vol ce sera bien, alors lire... et puis 3 livres, enfin bon, je me suis convaincu de lire le gros).

Je m'installe donc tranquillement au soleil et ouvre ce livre gratuit. ("C'est pas gratuit, c'est prépayé !" Gwendal H.) Et là, je fais preuve d'une énorme mauvaise fois.

Ah j'aime pas comment ça commence ! Tous les deux chapitres, il coupe avec sa situation actuelle, c'est chiant !! Puis les mots sont compliqués, ils font plus de deux lettres ! bla bla bla !

De toute façon, je n'ai rien d'autre à lire que SUD OUEST et le reportage de première page sur les poussins de l'équipe de Curling de Saint-Aubin de Médoc, donc je décide de persévérer, et ce n'est pas parceque ce n'est pas moi qui ai acheté ce livre et l'ai choisi que ce ne sera pas bien. Et pour cause.

Je me retrouve très rapidement plongé et captivé par le récit de ce jeune américain (douze ans au début du roman) qui nous raconte, avec une extrême jugeotte et pas tant de naïveté que ça, sa vie dans la Géorgie rurale des années 50, les incidents glauques et sordides qui ne lui laisseront aucun répit et ne pourront que le pousser à partir pour Brooklyn.
Brooklyn et New-York où le bonheur ne sera qu'éphémère et où finalement seul un combat contre les (ou plutôt LE) démons de sa jeunesse ne pourra être l'issue de cette terreur qui le poursuit.

Vous apprécierez la façon habile de repomper le quatrième de couverture avec des mots différents mais il m'est assez difficile d'en dire plus sans révéler quoi que ce soit qui pourrait gâcher l'intrigue à la fois haletante et riche de ce livre superbement écrit. Vous comprendrez également assez vite, à la lecture de tous les adjectifs pompeux déjà utilisés que j'ai particulièrement adoré ce livre à cheval entre le roman d'initiation et le thriller contemporain et en recommande vivement la lecture aux aficionados des deux genres.


Les blogs c'est pour les cons

Jeudi 6 Mai. 11.42 am.

Levé aux aurores (il y a environ 1h 41) d'une journée radieuse (les nuages recouvreront la moitié ouest nord et sud du pays) je prends un petit déjeuner frugal.
Une baguette de pain, un café, un demi pot de confiture et une brique de jus de fruits plus tard, je sens le froid m'arriver aux cuisses que mon caleçon sale ne recouvre pas.
Je décide d'enfiler un pantalon de pyjama gris Snoopy, collection printemps-été la redoute 1994.
Me voilà donc fin près à passer une journée bien remplie, un peu comme toutes celles de ces derniers jours/semaines/mois (rayer les mentions inutiles).
Cependant, la glande en pyjama, personne ne dira le contraire, c'est cool mais il faut bien entretenir ce plaisir casanier en lui fournissant des distractions autant variées que de qualité et c'est là tout l'objet de ce nouveau blog, qui deviendra très vite votre page d'accueil à la place de l'actuelle Amazon.fr.
J'ai donc décidé de donner mon avis pertinent (je me souviens avoir une fois eu 13/20 en racontant mes vacances à une rédaction en 5e) sur à peu près tout ce qui m'arrive dans les mains.
Sauf peut-être les bouteilles de vin rouge, vu que je suis limité en espace de stockage. Je vous souhaite une très agréable lecture-pyjama.
Avec tout mon amour,

Marcello.